Bibliothèque

Déambulant dans sa chambre à l’étage du château d’argent, de nombreuses questions assaillirent l’esprit d’Onyx. Il n’était qu’un simple soldat et pourtant depuis son arrivé dans ce royaume côtier on n’avait cessé de le traiter comme si il eut été de la famille royal, or loin de là, il n’était même pas née de famille noble. Ce traitement envers lui avait commencé lorsqu’il c’était réveiller dans les somptueux appartements du roi Handrian d’arguant, soignée et bien habiller. Le roi avait été si aimable avec lui et pourtant, Onyx n’avait rien fait d’extraordinaire pour lui. Ils c’étaient battu presque cotées à côte à certains moment, mais le soldat ne lui avait pas sauvé la vie, n’y même adresser la parole. Selon ce qu’en avait dit les autres soldats, Hadrian l’aurait pris sur ses épaules afin de le transporter lui-même au château pour penser ses blessure. Le roi avait veillé sur lui durant 4 jours avant qu’il n’ouvre les yeux pour la première fois. Personne ne savait pourquoi le roi avait été si bon avec lui, certain disait que c’était parce qu’il avait la même trempe que lui, d’autre qu’ils avaient de mauvaise intention. Seulement, pendant les croutes minutes qu’il avait été avec lui, Le soldat d’Émeraude n’avait décelé aucune mauvaise intention dans son regard, il semblait avoir simplement voulu aider son prochain, cependant, Onyx n’avait malheureusement pas en apprendre plus car un messager était arriver en trombe dans les appartements quelques minutes apres son réveil. Le roi d’Argent avait lui avait donné congé en lui indiquant ou se citait ses appartements.

Onyx avait été très surpris de voir que la chambre qui lui était dédié ne se trouvait pas dans les quartiers des soldats, mais bien à l’étage royal. De ses yeux bleus, il ne cessait d’observer la pièce sertis de luxueuse tapisseries et de tableau de toute sorte, en face à un véritable trésor. La famille du soldat avait toujours été assez bien aisé, mais jamais il n’avait eu de trésor si précieux, l’épée magique qu’il c’était payer avait été son seule luxe. Après avoir terminé d’observer les murs, son regard c’était posé sur le lit, ou des vêtements y était déposé. Une cote de maille reluisante ainsi qu’un habit noir à l’emblème du royaume d’argent reposait la, minutieusement plié. Il était un soldat d’Émeraude, pas d’Argent, mais puisuq1’on avait brulé ses loques, il n’avait pas vraiment le choix d’enfiler ses vêtements, à moins de vouloir se déplacer entièrement nu dans le palais du roi. Après avoir enfilé ses nouveau vêtement, Onyx s’observa quelques peux dans une glace. Habillé de de ses vêtements noir serti d’une ceinture en argent massif, il n’avait plus l’apparence d’un simple soldat, mais bien d’un seigneur, voir d’un noble. Mais son apparence lui important peu, il ne s’attarda pas très longtemps sur son reflet. Plaçant son fourreau sur sa nouvelle ceinture, le soldat y glissa son épée avant d’enfiler ses portes pour sortir à l’extérieur.

Onyx c’était rendu dans la cour, inquiet de comment se portais ses compagnons et la première chose qu’il peut remarquer était que le moral des troupes était à son plus bas. Ses soldats avaient vus la mort, ils l’avaient combattu et repoussé l’ennemi, mais ils savaient tous aussi que cette guerre n’était pas terminé. Qu’ils y auraient d’autre débarquement, d’autres insectes, d’autre combats et d’autre morts. La mort du commandant en chef des armées d’Émeraude n’aidaient en rien la satiation. Afin de repousser la menace de l’empereur, Jabe avait envoyé un autre régiment pour porter main forte et ``remplacer les pertes’’, mais Onyx n’était pas rassuré quant à leur efficacité. La peur se lisait sur leurs jeunes visages, ils étaient terrorisés par la simple idée de combattre les hommes-insecte. Le vieux fou avait crus les aider, mais en envoyant de jeunes recrus, cela réduisait leur chance de victoire sur l’ennemi. Un homme figé par la peur n’est pas plus utile qu’un fermier. C’étaient à la mort Jabe les avaient envoyé et malheureusement, Onyx ne pouvait rien pour eux. Le roi avait décidé de les envoyé dans la mêler et même le bras droit de l’armé ne pouvait pas contester ses ordres. Le commandant de l’armée était tombé, mais cela ne fessait pas d’Onyx le nouveau comandant. Il devrait se rendre dans les plus brefs délais au château d’Émeraude afin d’en informer le roi qui choisirait le nouveau comandant, chose que le soldat trouvait très fâcheux. Émeraude était à un jour au galop, ce qui laissait l’armé d’émeraude démunie de tout commandement, mais en de telle circonstance se serait le roi d’Argent qui en prendrait la tête. Onyx avait l’intention de partir dès le lendemain, à l’aube. Il partirait seul afin de ne pas privé l’armé d’hommes en cas d’attaque il serait d’ailleurs plus rapide que si il eut été accompagné.

La journée avait passé rapidement pour le soldat qui c’était réveillé lorsque le soleil était à son Zénith. Onyx aurait dû fermer l’œil cette nuit et se reposer pour le voyage du lendemain, mais il en était tout simplement incapable. Le visage couvert d’écailles du dragon ne qui avait failli lui arracher le cœur ne cessait de lui enter l’esprit. Il décida donc de profiter de la tranquillité de la bibliothèque la nuit, pour immortaliser à jamais le visage de la bête. Prenant une plume un beau d’ancre et un bout de parchemin, Onyx dessina la tête du dragon sur le parchemin avant de prendre sa dague et de s’entaillé le bras gauche à l’image de son œuvre. Ce traitement était douloureux, mais au moins, si jamais il venait à perdre la mémoire, il lui resterait au moins cette partie de lui qu’il ne pourra oublier. Cependant, l’approche d’une personne l’empêcha de terminer son tatouage.