Poème et réflexion: Mes poèmes et réflexion se retrouverons ici!

Mes remerciements à : Alexis qui m’a inspiré à l’aide de son mémoire.
Et l’espèce humaine, sans qui toutes réflexions seraient impossibles.

« Le temps est une vertu sans fin, composé par la patience, superposé par l’inaction et la compréhension passive. Cette même compréhension passive est l’interaction entre l’inaction physique et l’observation intellectuelle, sans agir physiquement, sans ordonner à notre corps d’agir, nous observons en imaginant un scénario dans lequel nous agissons, un scénario que nous pouvons modeler à notre guise, indépendamment de l’action physique. Cette observation passive est en soit l’un des atouts les plus puissants que possède l’esprit humain, cette même observation nous permet de visualisé un évènement et d’en tirer un schéma concret sur ce que nous aurions pût faire ou ne pas faire. Cette observation passive du passé est en soit la plus facile à réaliser, l’anticipation d’un évènement futur, à l’aide de simples images contentieusement représentées peut faciliter notre compréhension d’un même évènement. Très synonyme à la visualisation, l’observation passive d’un évènement nous permet de le visualisé, mais à la différence près, d’interagir mentalement avec cet évènement, de lui donné vie. Le caractère bouillant de l’être humain, son sens de l’initiative et des réactions spontanées à un évènement sont d’autant plus un fléau sur le développement cérébral que dans notre vie de tous les jours.

Un être humain qui agira sans penser subira les conséquences de ses actes, la spontanéité d’une action engendre souvent des tangences non désirées qui nuiront sans aucun doute au plan de départ de ce même humain. Il s’agît de prendre conscience de ce que nous faisons, de prendre conscience de ce que nous sommes et de ce que nous deviendrons, d’observer avec détachement les évènements quotidiens et de rester dans une observation de soi afin de mieux pouvoir comprendre pourquoi nous avons agît d’une telle ou telle autre façon. Les sentiments que nous devons à prime abords maîtriser, sont ceux les plus susceptibles de déclencher en nous une réaction vive, telle que la colère ou à l’inverse une trop grande passion. Comme toutes choses, la modération à bien meilleur goût et à certain égard, tenter de contrôler nos émotions est un synonyme du détachement de son propre égo. Le détachement de notre MOI, comme emploierai certain psychiatre est à la base des grands conflits cérébraux chez l’être humain. Dans l’observation d’une thèse sur l’évolution psychosexuelle des tueurs en série, nous pouvons affirmer que les tueurs tuent pour ce détaché de leurs MOI ou encore pour ce détacher de l’image reliée à leurs pères ou leurs mères. C’est ainsi ce que l’ont appellera une fusion entre le MOI du tueur et le MOI du père ou de la mère. L’identité sexuelle dès l’enfance reliée au complexe d’Œdipe, joue un rôle essentiel sur l’identité de l’égo masculin ou féminin. Dès l’âge de deux ans, l’enfant développera une attirance « sexuelle» envers sont père et ou sa mère. Dépendamment de son sexe, il sera attiré vers le parent à l’opposé du sien et développera ainsi une sorte de rivalité avec le parent du même sexe que lui afin d’obtenir l’attention du parent au sexe opposé.

L’homosexualité, au même titre que l’hétérosexualité se développe aussi à partir du complexe d’Œdipe, l’enfant qui ressentira une attirance plus prononcée chez le parent du même sexe que lui, développera tôt ou tard un complexe au niveau de l’attirance sexuelle. Il rentrera donc en compétition avec le parent du sexe opposé et si vers l’adolescence, il développera des tendances homosexuelles. Les autres complexes de type sexuel, fonctionne de la même manière, si une mère « couvre » trop sont « petit garçon » dès cet âge il pourra subir de grave séquelle, si le complexe tient à ce détérioré. Dans un contexte de vie « normal », l’enfant terminera sa phase du « complexe d’Œdipe» avec l’arrivée de ses premières dents. Lorsque l’enfant évoluera dans un univers différent, qu’il subira des agressions sexuelles, ou même s’il était battu, le complexe d’Œdipe tardera à se régler et si l’enfant traîne ce complexe jusqu’à l’adolescence, les manifestations de violence chez le jeune témoigneront du problème qu’il entraine avec lui. Les conséquences en seront bien palpables, à un stade aussi avancé, si l’adolescent ne consulte pas ou qu’il ne développe pas suffisamment rapidement l’existence de son problème, il cheminera peu à peu dans une escalade de violence probable menant éventuellement aux meurtres qui sera pour le tueur l’assouvissement de lui et ou dans la majorité une libération pour sa conscience.

Chaque cas est bien entendu différent, mais lorsque tueur exercera son « assouvissement » il justifiera ses actes en ayant une surestime de son égo, ses victimes lui seront donc de son point de vue inférieur, semblable à de simples gibiers. Dans le deuxième cas, le tueur se libérera du bourreau de son enfance, chaque meurtre le libérera de plus en plus, car il aura l’impression d’infliger de la souffrance l’archétype du bourreau qui couronnait son enfance. Le troisième type de tueur aura l’impression de tuer la « perversion » qu’il à en lui et encore une fois aura l’impression de se libérer. Le but premier sera toujours, inévitablement la libération d’un « mal » qui ronge la personne commettant ses crimes, certain tueur manifesteront mêmes du remord envers les victimes de leurs actes, mais la sensation qu’ils auraient eux-mêmes ressentie, « l’assouvissement » restera présent et plusieurs tueurs en série affirmeront qu’ils recommenceront. Certains tueurs en série tueront jusqu’à ce qu’ils se fassent prendre, les délais entre leurs meurtres varieront selon leurs besoins d’assouvissements. Certain encore, ce rendra à la police dès le premier meurtre, mais dans ce cas bien précis, ils ne pourront pas être considéré comme tueur en série et habituellement, s’ils sont libérés, ils risqueront de recommencer. D’autre encore commettrons, consciemment ou inconsciemment des erreurs qui mèneront pertinemment à leurs arrestations éventuelles. Définir une action inconsciente d’une action consciente est en soi un dilemme pour tous les professionnels du domaine psychique, je ne me risquerais donc pas à qualifier une action de consciente ou d’inconsciente, je peux par contre en citer la définition :

Citation :

La théorie psychanalytique, fondée par Freud, établit trois idées qui vont remettre en cause la définition traditionnelle de l’Homme comme un Sujet raisonnable, libre et responsable de sa vie. Ces idées sont :

1°) la conscience n’est que la partie la plus superficielle d’une réalité plus vaste et inaperçue qui estl’inconscient.

2°) la conscience ignore qu’elle est au service des exigences pulsionnelles de l’organisme et croit à tort exercer une maîtrise volontaire donc, consciente et délibérée, de son affectivité. Freud en accord sur ce point avec Spinoza renverse toute une tradition de la philosophie occidentale selon laquelle ce n’est pas la Raisonmais le Désir qui est l’essence du Sujet.

3°) la conscience est en lutte avec une partie d’elle-même qu’elle a refoulée et qui réapparaît sous la forme inquiétante de phénomènes non maîtrisés.

Citation :

Ce que Freud apprend à l’homme occidental civilisé c’est que la conscience réfléchie n’est pas la garantie d’une maîtrise de sa vie tant qu’elle ignore les déterminations d’un Inconscient psychique dont il faut aussi considérer qu’il appartient à la définition du sujet.

Avec les travaux de Freud, surgit une question plus qu’embarrassante pour la pensée : « L’hypothèse d’un Inconscient psychique ne rend-il pas périmé le projet, qui anime chacun de nous, de nous efforcer de nous connaître nous-mêmes, projet, selon Socrate, de la philosophie elle-même? ».

Texte de Monsieur Dubois d’après les citations de Freud.

Source : http://philodubois.over-blog.com/article-25794531.html

Ce que nous apprends Monsieur Dubois dans son interprétation du très respecté docteur Freud, c’est que la conscience en elle-même est la raison, une pointe d’un iceberg dont l’inconscience serais la pointe cachée de ce même iceberg. L’humain n’agît pas selon une rationalité providentiel mais bien selon ses propres désires, l’humain laisse sa raison être influencé par ses désires et donc par son inconscient. Être conscient de ce fait, être conscient de notre propre inconscience peut nous permettre d’appréhender notre égo, de le comprendre et de précisément, nous en méfier. Le but étant toujours d’appréhender nos désirs d’impulsivités et de les contrôler afin de laisser place à notre conscience. Cet égo que l’ont doit appréhender avec prudence constitue ce que nous sommes, du moins, la vision que l’ont à de ce que nous sommes. Une personne ne se remettant jamais en question développera un égo démesuré d’elle-même et elle développera un côté narcissique qui l’empêchera d’envisager la possibilité de la moindre erreur. Lorsque cette même personne commettra une erreur dans le domaine où elle se croit « invulnérable » à toutes erreurs, son égo sera littéralement détruit, ou tout de moins subira une grande remise en question d’elle-même. Le phénomène peut être inversement proportionnel lorsque la personne à un faible égo d’elle-même, elle remettra toujours chacune de ses décisions en questions ce qui engendrera un sentiment de profonde insécurité. Lorsque cette personne accomplira une tâche ou une œuvre, elle ne sera jamais satisfaite d’elle-même ou encore ne sera jamais capable d’évaluer avec objectivité ces tâches ou ses mêmes œuvres. Le développement de l’égo est en soi un spécimen unique pour chacune des personnes, relié directement au passé de la personne et indirectement au passé de son entourage. L’équilibre entre le dénigrement mécanique de soi et la surévaluation de soi-même est une chose plus qu’importante, elle est essentielle au développement psychologique de la personne.

L’égo est parfois le meilleurs de nos alliés ou le pire de nos ennemis, la façon de l’appréhender relèvera directement de l’habilité que l’ont possède à maîtriser «l’observation passive ». Le détachement de soi-même est essentiel pour comprendre nos propres actions et le meilleur moyen, encore pour le faire est d’être conscient de tout ce que l’ont fait. Avoir conscience de nos actions, de nos mouvements de ce qui se passe autour de nous, nous aidera à mieux appréhender notre égo. Nous avons tendances à nous laisser « envelopper » par la télévision ou encore par un livre en ignorant tout ce qui se déroule autour de nous, le but recherché de l’observation passive, et d’avoir conscience des évènements qui se trouvent autour de nous et de même, à l’aide de notre mémoire, notre conscient et notre inconscient d’appréhender ce qui se déroulera autour de nous. Ce connaître afin de pouvoir nous plonger, mentalement dans une situation et d’appréhender, avec ce que nous savons déjà de nous-mêmes, la réaction que nous aurions. De combattre l’impulsivité à sa source et de la maîtriser. »